Confessez-vous le dimanche de la miséricorde divine 27 avril pour obtenir une indulgence plénière
A LA FIN DE LA NEUVAINE A LA MISERICORDE DIVINE, ON FETE
LE "DIMANCHE DE LA MISERICORDE" (C’est à dire pas ce
dimanche mais le prochain)
CONFESSEZ VOUS LE DIMANCHE DE LA MISERICORDE POUR
OBTENIR UNE INDULGENCE PLEINIERE
LIEN POUR VOUS CONFESSER
http://magazinelavoixdedieu.files.wordpress.com/2013/11/confession.pdf
INDULGENCE PLEINIERE
Le VATICAN DIT : On accorde l’Indulgence plénière aux
conditions habituelles (Confession sacramentelle,
Communion eucharistique et prière selon l’intention du
Souverain Pontife) au fidèle qui, le deuxième Dimanche
de Pâques, c’est-à-dire de la "Divine Miséricorde", dans
chaque église ou chapelle, l’âme totalement détachée de
tout péché, même véniel, participe à des pratiques de
piété accomplies en l’honneur de la Divine Miséricorde,
ou tout au moins qui récite, en présence du Très Saint
Sacrement de l’Eucharistie, publiquement exposé ou
conservé dans le Tabernacle, le Notre Père et le Credo,
en ajoutant une pieuse invocation au Seigneur Jésus
miséricordieux (par exemple "Jésus miséricorideux, j’ai
confiance en toi").
FETE DE LA MISERICORDE DIVINE
La fête de la Miséricorde divine occupe la première
place parmi toutes les formes du culte de la Miséricorde
Divine révélées à Sœur Faustine. Jésus a demandé la
vénération particulière de sa Miséricorde au premier
dimanche après Pâques et à des privilèges particuliers
qui, ce jour-là, sont capables d’arracher l’homme au
plus grand abîme du péché. Nous trouvons la première
allusion au désir de Jésus juste après sa demande que
soit peinte une icône.
Jésus lui dit : « Je veux que cette image que tu
peindras avec un pinceau, soit solennellement bénie, le
premier dimanche après Pâques, ce dimanche doit être la
fête de la Miséricorde » (PJ 49).
En même temps, à travers Faustine, Jésus s’adresse aux
prêtres afin qu’ils proclament la Miséricorde Divine et
Il incite les pécheurs à ne pas avoir peur (PJ 50). Il
assure également que celui « qui s’approchera ce jour-là
de la Source de Vie obtiendra une totale rémission de
ses fautes et de leurs châtiments » (PJ 300).
L’idée de la fête de la Miséricorde se retrouve dans
plusieurs visions de sœur Faustine. Jésus dit : « Je
désire que la fête de la Miséricorde soit le recours et
le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les
pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma
miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de
grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de
ma miséricorde ; toute âme qui se confessera et
communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la
remise de leur punition ; en ce jour sont ouvertes
toutes les sources divines par lesquelles s’écoulent les
grâces ; qu’aucune âme n’ait peur de s’approcher de moi,
même si ses péchés sont comme l’écarlate » (PJ 699). La
Fête de la Miséricorde a donc une valeur unique en son
genre : les fautes sont totalement pardonnées et les
peines remises. Il y a là d’avantage qu’une « simple »
indulgence plénière qui est une remise des peines
temporelles.
La Fête de la Miséricorde Divine doit être selon le
dessein de Dieu un autre moyen de sauver ceux qui ont
perdu tout espoir. Pour obtenir la Miséricorde Divine il
y a cependant des conditions : une conversion sincère
et, en conséquence, la confession et l’union avec le
Seigneur dans la communion.
Et là, ni le genre, ni la quantité des péchés n’a
d’importance, « car même si [l’âme] compte plus de
péchés qu’il n’y a de grains de sable sur terre, tout
sombrera dans l’abîme de ma miséricorde » (PJ 1059). La
fête n’est pas seulement un jour d’adoration
particulière de Dieu dans le mystère de la miséricorde,
elle est aussi un temps de grâce pour tous les hommes :
Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu’il ne se
tournera pas vers la source de ma miséricorde. (PJ 699)
Les âmes périssent malgré mon amère passion. je leur
offre une dernière planche de salut, c’est la fête de ma
Miséricorde. Si elles n’adorent pas ma miséricorde,
elles périront pour l’éternité.(PJ 965) Le choix du
premier dimanche après Pâques pour la Fête de la
Miséricorde a un sens théologique profond, qui révèle
l’étroite relation entre le mystère pascal de la
Rédemption et le mystère de la Miséricorde Divine.
Cette relation est encore soulignée par la récitation de
la neuvaine à Miséricorde Divine qui commence le
Vendredi saint. C’est donc encore une preuve de l’amour
infini de Dieu qui recherche chaque occasion de sauver
l’homme. Comment donc ne pas profiter de ces bontés