Le
15 avril
2014
Chers
enfants
de
Medjugorje,
loués
soient
Jésus
et
Marie
!
Joyeuses
Pâques !
1. Le
2 avril
2014,
Mirjana
reçut
son
apparition
mensuelle
à la
Croix
bleue,
par
un
beau
soleil
de
printemps.
Après
l'apparition,
elle
transmit
le
message
suivant :
« Chers
enfants, avec
un
amour
maternel
je
désire
vous
aider
afin
que
votre
vie
de
prière
et
de
pénitence
soit
une
tentative
sincère
pour
vous
rapprocher
de
mon
Fils
et de
Sa
divine
lumière
-
que
vous
sachiez
vous
séparer
du
péché.
Chaque
prière,
chaque
messe
et
chaque
jeûne
est
une
tentative
pour
vous
rapprocher
de
mon
Fils,
un
rappel
de
sa
Gloire
et
un
refuge
contre
le
péché.
Ils
sont
le
chemin
vers
une
nouvelle
union
entre
le
Père
de
Bonté
et
ses
enfants.
C'est
pourquoi,
mes
chers
enfants
d'un
coeur
ouvert
et
plein
d'amour,
invoquez
le
nom
du Père
Céleste
afin qu'Il
vous
illumine
du
Saint
Esprit.
A
travers
le
Saint
Esprit
vous
deviendrez
une
source
de
l'amour
de
Dieu.
Tous
ceux
qui
ne
connaissent
pas
mon
Fils,
tous
ceux
qui
ont
soif
de
l'amour
et
de
la
paix
de
mon
Fils
boiront
à
cette
source.
Je
vous
remercie.
Priez
pour
vos
bergers.
Je
prie
pour
eux
et
je
désire
qu'ils
sentent
toujours
la
bénédiction
de
mes
mains
maternelles
et
le
soutien
de
mon
coeur
maternel. »
2. Percutée
par
l'Esprit-Saint ! Battistina
est
une
femme
italienne
bien
d'aujourd'hui.
Comptable
de
son
métier
via
Internet,
elle
a 47
ans. Lorsque
son
compagnon de
vie
l'invita
à se
rendre
à
Medjugorje,
elle
n'était
pas
intéressée.
Et
puis
un
beau
matin,
elle
entendit
dans
sa
voiture
un
chant
souvent
diffusé
par Radio
Maria,
ce
chant
qui,
durant
des
années,
l'irritait
tant
lorsqu'elle
cherchait
une
émission.
A
l'improviste,
ce
chant
la
bouleversa,
ses
larmes
coulèrent
en
un
flot
ininterrompu,
sans
motif
apparent.
Elle
comprit
que
la
Vierge
l'appelait.
Mais
je
la
laisse
raconter...
«
Depuis
un
pèlerinage
à
Medjugorje
en
juillet
2012,
tout
a
changé
dans
ma
vie,
rien
n'est
plus
comme avant !
Ma
conversion
eut
lieu
durant
l'adoration
du
Saint
Sacrement.
Nous
étions
des
milliers,
dehors,
autour
de
la
Rotonde.
Soudain
je
me
suis
retrouvée
à
genoux
et
j'avais
l'impression
que
je
tenais
mon
cœur
vivant
entre
mes
mains.
J'ai
vu
passer
devant
mes
yeux
toute
ma
vie.
Je
distinguais
avec
clarté
le
bien
et
le
mal,
et
tout
ce
qui
me
semblait
bien
à
l'époque
devenait
mal.
J'ai
commencé
à
ressentir
une
grande
douleur
au
sujet
de
mon
divorce.
Comment
avais-je
pu
rompre
une
promesse
faite
devant
Dieu ?
Ces
paroles
résonnaient
dans
mon
esprit : « Que
l'homme
ne
sépare
pas
ce
que
Dieu
a
uni.»
Je
compris
alors
que
ma
sérénité
n'était
que
dans
ma
tête,
car
mon
cœur
était
congelé.
Je
me
suis
toujours
sentie
dans
le
camp
des « justes »,
et
la
victime.
J'ai
vu à
ce
moment-là
à
quel
point
mon
cœur
était
dur,
j'ai
vu
la
souffrance
qu'avait
subi
mes
4
enfants,
mon
père
et
mes
beaux-parents,
et
surtout
je
vis
que
je
n'étais
pas
du
tout
une
victime.
En
réalité,
je
n'avais
jamais
pardonné
à
personne.
Quand
ma
fille
aînée
de 9
ans,
en
CM1,
avait
insisté
auprès
de
moi
pour
faire
sa 1ère Communion,
je
lui
dis
que
cela
n'avait
pas
de
sens ;
et
mon
dernier
enfant
n'était
même
pas
baptisé !
J'ai
vu
tous
les
livres
que
j'avais
achetés
durant
vingt
ans
sur
le
New
Age.
Comment
avais-je
pu
occuper
tout
ce
temps
en
lecture
et
en
cours
de
formation
à la
recherche
de
moi-même,
choses
qui
n'ont
abouti
qu'à
m'éloigner
de
Dieu
et
de
ma
famille ?
« La
douleur
se
faisait
de
plus
en
plus
forte
et
petit
à
petit
je
me
suis
retrouvée
la
face
contre
terre ;
Je
me
suis
dit :
« Seigneur,
fais-moi
mourir
ici,
car
je
ne
suis
même
pas
digne
d'élever
ma
tête
du
sol ».
Je
sentis
alors
comme
une
immense
étreinte
d'amour,
et
une
joie
qui
n'appartient
pas
à ce
monde.
Et
je
me
dis :
« En
18
ans,
j'ai
cru
tout
donner
à
mes
enfants,
mais
en
fait
je
ne
leur
ai
rien
donné
parce
que
je
ne
leur
ai
pas
donné
« Cela ».
Alors
si
je
reste
ici
pour
prier
pour
eux
le
restant
de
ma
vie,
ce
sera
mieux
que
tout
ce
que
je
pourrais
faire
en
retournant
à la
maison ?
Si
moi,
en
tant
que
mère,
l'âme
de
la
maison,
j'avais
cultivé
la
prière
au
lieu
de
cultiver
les
choses
inutiles,
mes
enfants
auraient
encore
aujourd'hui
une
famille
unie !
« Quand
on
décide
de
se
libérer
de
la
croix
du
mariage,
en
réalité,
on
la
met
sur
les
épaules
de
nos
enfants.
« Je
sentis
à ce
moment-là
que
je
devais
rester
liée
à ma
promesse
de
fidélité
dans
le
mariage,
et
je
décidai
de
faire
le
vœu
de
chasteté.
J'offrais
cela
à
Dieu
afin
que
mille
familles
ne
se
séparent
pas.
Mon
compagnon
de
vie
ressentit
la
même
chose.
Et
il
me
dit
que
nous
devrions
nous
consacrer
entièrement.
De
retour
à la
maison,
je
me
suis
confessée
souvent.
Certains
prêtres,
devant
mon
choix
de
chasteté,
me
disaient
que
cela
n'était
pas
nécessaire,
d'autres
que
cela
relevait
d'une
pure
invention
de
notre
part,
mais
moi
j'étais
très
sûre
et
très
décidée,
car
cela
me
semblait
bien
peu
devant
l'infinie
miséricorde
que
j'avais
reçue.
« Mes
enfants
pensaient
que
j'étais
devenue
folle
car
j'allais
à la
messe,
et
j'avais
accroché
un
crucifix
dans
le
salon.
Ma
fille
aînée
était
très
irritée
par
mon
enthousiasme
et
elle
me
dit :
« Et
alors,
que
fais-tu
de
tout
ce
que
tu
nous
as
raconté
pendant
18
ans ? »
« Je
suis
désolée,
lui
dis-je,
je
me
suis
trompée ! »
« Au
mois
de
novembre,
je
retournai
à
Medjugorje
avec
mes
4
enfants
afin
qu'ils
puissent
comprendre
eux
aussi,
et
j'avais
bon
espoir
qu'ils
rencontrent
le
Seigneur.
Je
les
observais
de
loin
et,
dans
cette
attente,
je
pensais :
« Mais
si
moi,
leur
mère,
avec
le
peu
d'amour
dont
je
suis
capable,
je
suis
si
heureuse
de
voir
mes
enfants
prier,
combien
plus
notre
Mère
du
Ciel
le
sera-t-elle ?
Et
comme
elle
sera
malheureuse
pour
ses
enfants
qui
se
perdent !
« Durant
ce
pèlerinage,
tous
mes
enfants
ont
été
touchés
au
cœur.
On a
étudié
ensemble
le
Catéchisme.
Neuf
mois
plus
tard,
le
plus
jeune,
âgé
de
10
ans,
fut
baptisé,
et
tous
mes
enfants
reçurent
la
communion
dans
la
même
célébration.
Ce
jour-là
fut
le
plus
beau
de
ma
vie !
C'était
comme
si
je
les
voyais
renaître
tous
en
même
temps.
Mon
compagnon
et
moi
sommes
restés
ensemble,
en
vivant
comme
frère
et
sœur
pendant
un
an.
Mais
chaque
jour
je
demandais
à
Dieu
de
pouvoir
comprendre
quelle
était
sa
volonté,
si
nous
devions
rester
proches
pour
nous
soutenir
mutuellement,
ou
si
nous
devions
nous
séparer
complètement.
J'ai
gardé
ce
doute
dans
mon
cœur
pendant
longtemps
mais
peu
à
peu
le
Seigneur
a
fait
en
sorte
que
le
travail
nous
éloigne
l'un
de
l'autre.
« Après
ma
conversion,
j'ai
repris
contact
avec
mon
ex-mari.
Pendant
neuf
ans,
chacun
de
nos
appels
téléphoniques
se
terminait
par
des
cris
des
deux
côtés ;
si
bien
que
pendant
un
an
nous
ne
nous
sommes
plus
parlé,
et
il
ne
communiquait
avec
moi
qu'à
travers
les
enfants.
Lorsque
j'ai
reconnu
mes
fautes,
j'ai
considéré
ses
erreurs
à
lui
comme
les
conséquences
des
miennes
et
alors
ma
rancune
s'évanouit.
C'était
moi
qui
devais
demander
pardon !
Peu
à
peu
j'ai
commencé
à
ressentir
ce
lien
profond
du
mariage,
scellé
par
Dieu,
et
je
me
suis
à
nouveau
sentie
épouse.
Mais
je
ne
comprenais
pas.
J'ai
demandé
à un
prêtre
s'il
était
bien
de
me
sentir
ainsi
épouse,
même
si
mon
époux
était
lié
à
une
autre
personne
et
avait
un
fils.
Le
prêtre
me
répondit
que le
sacrement
du
mariage
est
indissoluble
devant
Dieu.
« Aujourd'hui,
cet
amour
que
je
pensais
effacé
ou
n'ayant
même
jamais
existé,
je
l'ai
retrouvé
intact
dans
les
profondeurs
de
mon
cœur.
Je
le
garde
dans
sa
pureté
et
je
prie
chaque
jour
pour
la
conversion
de
mon
ex-mari
et
pour
toutes
les
familles.
Je
remercie
Jésus
et
Marie
pour
la
grâce
infinie
que
ma
famille
reçoit
chaque
jour
et
je
continue
à
avancer
sur
ce
chemin
de
conversion. »
3.
Battistina a
vécu
en
concentré
et
l'une
après
l'autre,
les
étapes
fréquentes
chez
les
pèlerins
de
Medjugorje :
Invitée
par
la
Vierge
sans
savoir
pourquoi,
elle
vient,
et
par
une
grâce
spéciale
elle
voit
toute
sa
vie
sous
la
Lumière
du
Saint-Esprit.
Elle
comprend
avec
le
cœur
la
miséricorde
de
Dieu
envers
elle,
elle
regrette
ses
péchés
(qu'elle
ne
voyait
pas
avant),
elle
les
pleure,
y
renonce
et
les
confesse.
Elle
se
voit
transformée
en
profondeur
et
elle
pose
des
actes,
changeant
sa
vie
selon
ce
qui
lui
semble
plaire
à
Dieu,
avec
l'aide
d'un
bon
prêtre
fidèle
au
Magistère
de
l'Eglise.
Quel
exemple !
Beaucoup
s'arrêtent
aux
grâces
reçues,
mais
il
est
bon
de
poser
des
actes
concrets
de
retour
à la
maison !
Ce
témoignage
nous
aide
à
entrer
de
pleins
pieds
avec
Jésus
dans
ce
temps
de
miséricorde
qui
nous
est
offert
aujourd'hui
comme
jamais
auparavant
!
4. Un
céleste
cadeau
de
Dieu : La
neuvaine
à la
Divine
Miséricorde commence
le
Vendredi
Saint.
Elle
se
termine
le
dimanche
après
Pâques,
déclaré
par
Jean
Paul
II Dimanche
de
la
Miséricorde. Puisse
cette
puissante
prière
- et
les
promesses
qui
y
sont
attachées
-
apporter
à
chacun
de
nous
un
vrai
renouveau
d'amour
envers
le
Christ !
Puisse-t-elle
nous
aider
à
quitter
le
péché
et à
nous
décider
pour
la
sainteté ! (PS
1)
5.
Vous
pouvez
m'aider
! J'ai
presque
fini
d'écrire
mon
livre
sur
la
paix
(la
suite
de
l'Enfant
caché),
merci
pour
les
témoignages
reçus !
Si
vous
n'avez
pas
encore
envoyé
le
vôtre,
il
n'est
pas
trop
tard,
ni
pour
les
photos.
Pensez
aux mal-croyants qui
s'ouvriront
à
Dieu
en
découvrant
les
grâces
que
vous
partagez !
Merci
d'écrire
à gospa.fr@gmail.com ou
à
notre
siège
« Les
Enfants
de
Medjugorje »,
2
rue
du
Vallon,
F-
78450
Chavenay.
France.
Attention ! Le
prochain Direct sera le
5
mai à
21h
et
non
le
3 !
Le Direct du
3
avril
est
retransmissur
http://www.enfantsdemedjugorje.fr/index.php/le-direct-du-3.html Et en
cadeau,
une
vidéo de
10
min, La Messe sur https://www.youtube.com/watch?v=jXAOXgwvtNU
Chère
Gospa, nous
célébrons
avec
bonheur
ta
maternité
divine
envers
nous,
car
aujourd'hui
encore
Jésus
nous
dit :
« Voici
ta
Mère ! »
Comme
Jean,
nous
te
prenons
chez
nous
pour
vivre
chaque
minute
de
notre
vie
avec
toi !
Ton
Cœur
maternel
fait
nos
délices !
En
ces
jours
de
grandes
bénédictions,
livre-nous
tous
tes
secrets
sur
le
Cœur
de
ton
Fils !
Sœur
Emmanuel
+